mercredi 29 septembre 2010

Art de l'Afrique centrale



Le musée du quai Branly présente cet été, à travers 170 oeuvres majeures et 80 documents, une importante exposition consacrée aux traditions artistiques d’Afrique Centrale, à savoir le Gabon, la République du Congo et la République démocratique du Congo.

Véritable voyage initiatique menant le visiteur des forêts du Nord aux savanes du Sud, l’exposition démontre les liens existant entre les oeuvres produites dans les régions bordant le majestueux fleuve Congo, par diverses populations de langues bantoues.

Derrière la variété des masques et sculptures fang, hemba, kwélé ou kota, l’exposition met en lumière les oeuvres majeures de l’Afrique Centrale, dans leur conception, leurs structures et les liens artistiques qui les rapprochent.

Les trois thèmes de l’exposition, fondamentaux communs à ces peuples iconophiles, sont complémentaires :
les masques et statues ayant le « visage en forme de coeur », et qui assurent l’unité et l’identité des groupes respectifs ;
l’importance de l’ancêtre fondateur et des membres éminents de son lignage ;
la représentation de la femme dans les royaumes de la savane, équilibrant l’autorité des hommes, liée au mystère de la régénération de la terre, de l’agriculture, de la vie humaine.

Suite :

Reportage Vox Africa

Photos de l'expo

Kalunga Kabetshi, l'ancêtre

Lors de l'exposition Fleuve Congo au Musée du Quai Branly à Paris en septembre 2010
http://www.quaibranly.fr/fr/programmation/expositions/a-l-affiche.html

















Lors de l'exposition Fleuve Congo au Musée du Quai Branly à Paris en septembre 2010.

dimanche 26 septembre 2010

Manifestation anti-vivisection à Paris Saint germain des près, 25 sept 2010

Les industries pour les labos reçoivent des subventions de l’Etat venant de nos impôts. Les chercheurs rédigent un article pour l’année suite aux diverses vivisections (découper les vivant). Ils sont bien payés par mois, des gens dont la souffrance animale ne touchent pas, des gens qui peuvent torturer les animaux impunément. A 50% les expérimentations animales ne servent pas pour les médicaments, du genre attacher un chien par les pattes et le faire tourner le plus rapidement possible pour voir comment les intestins se vident du ventre de l’animal, ou alors une vache tube, au lieu d’un système organique digestif, le chercheur met un tube pour savoir comment ça se fait. Science sans conscience, un vrai fléau.
Les étudiants en faculté de médecine sont les seuls en Europe qui sont obligés de faire des expérimentations animales alors que de nombreux étudiants ne veulent pas le faire.
Les expérimentations sur les animaux sont inutiles car les animaux ne sont pas fait comme nous, c’est simple comme bonjour de le comprendre. Lapin, cochon, chat, chien, souris, singe ne sont pas des humains c’est pour cela que tous les ans, il y a des médicaments qui sont retournés dans les labos car ils sont dangereux. Mangeons comme un lapin, ou un cochon, ou un chat, par exemple pendant plusieurs mois et nous verrons comment notre organisme réagit, il est facile à parier que nous tombions malade. Le corps est constitué de ce qu’il mange aussi. C’est du grand n’importe quoi cette science qui emploi la torture animale pour trouver des remèdes afin de guérir les humains. D’autant plus que la société, à cause des lobbies pharmaceutiques, a oublié le pouvoir des plantes et nos grands-mères dans les campagnes en savaient beaucoup sur les plantes et leurs propriétés à guérir les maladies. Et ce savoir devrait pouvoir servir pendant encore longtemps et passer pour les générations à venir.

Il y a des alternatives pour expérimenter les médicaments : la bonne science.
http://www.international-campaigns.org/
Associations en Belgique






1999 Les Encres

Autour d'une table Dyptique 1 Dyptique 2 Couple L'enfance Dyptique 3 Dyptique 4 Fruits ...