dimanche 27 mars 2011


Communication avec un autre monde

La Galerie Christan Berst, dont j'apprécie les expositions (cqfd) n'est pas intéressée par exposer mes peintures et dessins, c'est plutôt "rassurant" car ça me laisse toutes les autres galeries, à prendre du bon côté biensur... je n'aurai pas pu être rangée dans "art brut"... et c'est bien pour cette raison que mes travaux ne peuvent pas être montrer dans ce lieu. Bien que je sois sûre que certains acquéreurs de brut, pourraient aussi être acquéreurs de mes toiles et dessins car il y a bien des dessins et peintures flirtant avec le brut et le médiumnique.



Je suis sans étiquettes d'appartenance à un mouvement d'art en particulier et ainsi je pourrais recevoir plusieurs dénominations, tout dépend de la période consultée. Et ce n'est pas fini, je prévois plus d'approfondissement dans cet art picturale et poétique. Il y a urgence maintenant de faire connaitre mon travail.

lundi 14 mars 2011

Onanyati


Onanyati
Par un artiste peintre d'Amazonie
En savoir plus : Artistas plasticos de la selva del Peru, su inspiracion son las plantas sagradas, visiones,ecologia, amistad,misticismo, respeto a lo ancestral, costumbres y tradiciones de las culturas etnicas de la amazonia.
http://www.youtube.com/watch?v=f6yMVt8j8zg

dimanche 6 mars 2011

Le livre noir de l'agriculture, par Isabelle Saporta




Le Mot de l'éditeur : Le livre noir de l'agriculture

Vous souvenez-vous des Shadoks, ces étranges oiseaux qui passaient leur vie à pomper, pomper, pomper et à inventer des machines toujours plus absurdes ? Les Shadoks, aujourd’hui, c’est nous, ou plutôt notre agriculture. Malgré son coût prohibitif, celle-ci ne respecte ni le pacte social qui la lie aux paysans, ni le pacte environnemental qui la lie aux générations futures, ni même le pacte de santé publique qui la lie à chacun de nous. Les ressources d’eau sont gaspillées, polluées. Nous recevons chaque jour dans nos assiettes notre dose de pesticides et autres résidus médicamenteux. L’agriculteur ne s’en sort plus, et il est injustement voué aux gémonies, lui qui n’est que le bouc émissaire d’un système qu’il subit. La confiance est rompue. Pendant deux ans, Isabelle Saporta a parcouru les campagnes françaises. Dans cette enquête, elle met au jour l’absurdité du système, en le remontant de la fourche à la fourchette, du cours d’eau pollué aux cancers environnementaux provoqués par les pesticides, des animaux trop traités à l’antibiorésistance. La conclusion semble s’imposer : puisque notre agriculture pose plus de problèmes qu’elle n’en résout, il est urgent de changer de cap et de revenir à davantage de raison. Mais si tout le monde s’accorde sur le constat d’échec, aucun responsable politique ne veut prendre le risque de s’attaquer aux fondements de l’agriculture intensive. Loin de se contenter de brosser un tableau alarmiste, Isabelle Saporta avance des solutions simples. Pour les trouver, il suffit de savoir écouter ceux qui connaissaient le monde avant son délire productiviste. Ceux qui, aujourd’hui, travaillent d’arrache-pied à remettre les champs dans les sillons du bon sens paysan. Isabelle Saporta est journaliste. Elle a longtemps préparé les émissions de Jean-Pierre Coffe sur France Inter. Elle est l’auteur de documentaires, dont Manger peut-il nuire à notre santé ? et collabore à Marianne.
"Biographie d'Isabelle Saporta
Philosophe et journaliste, Isabelle Saporta est un auteur aux propos engagés. Habituées des pages du magazine hebdomadaire Marianne, et plus principalement dans la rubrique savoir-vivre, et récente contributrice aux derniers numéros de la revue numérique Le Banquet, elle s'exprime dans le monde littéraire dans le courant de l'année 2006 en sortant un premier ouvrage consacré à la mouvance altermondialiste. Loin d'une connivence entendue de la plupart des médias, elle y fustige un monde d'arrangements et de compromissions et l'hypermédiatisation qui fait primer l'image sur l'engagement effectif. Forte de ses enquêtes de terrain, Isabelle Saporta joue les empêcheurs de tourner en rond."


Magazine de la santé
http://www.dailymotion.com/video/xh2fiy_fr5-magazine-de-la-sante-isabelle-saporta_news

On n'est pas couché
http://www.dailymotion.com/video/xhdzv0_isabelle-saporta-on-est-pas-couche-5-mars-2011-1_news

vendredi 4 mars 2011

Réalité du monde animal

"Actuellement, la réalité est terrifiante : poussins hachés menu, poulets ébouillantés vivants, porcs mutilés, poissons d’élevage dévorés vivants par les poux de mer… Tous sont malades, gavés d’antibiotiques nocifs pour notre propre santé. Dans un souci de rentabilité, les éleveurs créent des races dégénérées, plus sensibles au stress – donc qui souffrent plus. Aux États-Unis, 99 % des bêtes vivent de leur premier à leur dernier jour un véritable enfer, confinées dans des espaces exigus, irrespirables, traitées et abattues d’une manière parfois ouvertement sadique. "


http://www.psychologies.com/Nutrition/Modes-de-vie/Articles-et-dossiers/Pouvons-nous-continuer-a-manger-les-animaux

Je me demande dans quel pays il n'y a pas encore d'elevages intensifs, dans certains pays en Afrique et encore ?

La jeunesse changera le monde j'espère bien, en arrétant de manger ces animaux, en stoppant l'élevage intensif... sinon plus ça se développera dans le monde, et plus ce sera du malheur à venir. c'est évident, on ne peut pas s'enrichir et être heureux sur de la souffrance animale, sur de l'esclavage concentrationnaire. un jour ou l'autre, la Vie réponds...

Alors moi aussi je préfère ne pas les manger. De temps en temps je mange de la volaille bio, et des oeufs bio, et des crevettes dans les nems. Les champignons sont les steaks de la nature, alors il faut en profiter, aiinsi que le soja qui est riche en protéines. Eviter aussi de boire du lait, et diminuer les fromages. Nous avons d'autres alternatives. La nature est riche dans ses produits.

Pierre Rabhi mange 2 fois par semaine, il dit que son corps en a besoin. alors je ne sais pas si tous le monde peut devenir végétarien, une chose est sûre tout le monde peut se modérer.

Alors je prone la modération, si les gens veulent en manger, qu'ils choisissent plutôt bio et maxi 2 fois par semaine. De plus nous sommes dans l'urgence de diminuer la viande pour cause de pollution intensive. les élevages participent à 1/5 de la pollution. les nappes phréatiques polluées et le déboisement sont des conséquences de ces élevages intensifs.

Il est de notre responsabilité pour nos enfants, leurs enfants et leurs descendances. Al Gore en a bien parlé dans son film, une vérité qui dérange.

Les meilleures statistiques

Hans Rosling présente les meilleures statistiques jamais vues
http://www.ted.com/talks/lang/fre_fr/hans_rosling_shows_the_best_stats_you_ve_ever_seen.html

Population mondiale

A voir sur TEDcannes
Hans Rosling à propos de la croissance de la population mondiale et propose des solutions pour réduire la misère.

L'occident pourrait être une fondation pour le monde nouveau.
http://www.ted.com/talks/lang/fre_fr/hans_rosling_on_global_population_growth.html

jeudi 3 mars 2011

Sur le site de l'Insee, nous pouvons trouver les chiffres du budget familiale de la consommation alimentaire depuis les années 1960 en France, si le budget de la consommation de viande a diminué c'est pour laisser la place au plat préparé à base de viande (donc la cuisine industrielle) et les poissons. la diminution ne serait que de 3,7 %, par contre la consommation de poissons a doublé en 50 ans." la baisse traduit surtout le fait que, avec l’élévation du niveau de vie, les quantités consommées progressent moins vite que la dépense de consommation des ménages en volume. Les dépenses en viande se sont élevées à 36 milliards d’euros en 2006 (tableau 2). Elles participent encore majoritairement aux dépenses du repas hors dessert, soit 57 % en 2006, contre 59 % en 1960.'Et aussi, nous sommes passés de 72,3% en 1960 pour 75,8% en 2006 consacré dans le budget familiale pour la viande. Et la France reste un des pays d'europe où l'on mange le plus de viande et le moins de légumes et de fruits.
75,8% pour la viande dans le budget repas, c'est vraiment beaucoup. si la population devenait végétarienne ou presque comme en Inde où la population est à 40% végétarienne, ce budget viande non utilisé pourrait être consacré à nourrir ce qui en ont besoin, en alimentaire ou autre nécessité comme le logis, l'école et les arts.

http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=ip1208#inter1

Selon un autre site, la consommation de viande a fortement baissé depuis 1996, néanmoins en 2007, la consommation de porc s'élève à 34,7kg par personne. et la consommation de volaille est en nette augmentation.

mercredi 2 mars 2011

La vache à lait


La vache à lait - Notre consommation, leur martyre de Michelle Julien, éditions du Cygne

Pourquoi oublie-t-on que pour renouveler son cycle de production laitière, la vache doit donner naissance, une fois par an, à un veau ? Pourquoi juge-t-on stupide et indolent un animal que l’on ne connaît pas ? Comment le public perçoit l’animal dans la production laitière ? Comment la distanciation du consommateur et l’invisibilité de l’animal s’opèrent-ils ? La Vache à Lait se distingue des autres livres sur le même thème en choisissant délibérément de ne pas se focaliser sur des considérations liées à l’intérêt des humains : leur santé, leur revenu, leur environnement. Il est temps de placer la vache au centre du débat car le lait n’est pas que le simple contenu d’un verre. Derrière la boisson et ses dérivés, communément appelés « produits » laitiers, il y a un animal. L’animal de rente qui doit son existence à sa rentabilité. Comment en est-on arrivé là ? Figure symbolique associée à l’enfance, héroïne sympathique d’un livre illustré, confidente apaisante grâce au toucher de son textile rembourré, nombreux sont les enfants qui ont choyé ce paisible ruminant. À l’âge adulte, la figure animale disparaît pour faire place à de toutes autres considérations.Où est passé l’animal ? Désanimaliser le débat sur le lait et ses dérivés révèle la déshumanisation et les dérives de notre société. À travers la vache, ce livre parle de nous.

Le cochon qui chantait à la lune


Jeffrey Moussaïeff Masson et One Voice ont décidé de s’associer pour l’édition de la traduction française du « Cochon qui chantait à la lune ». Pour cet auteur de best-sellers, spécialiste de la vie mentale des animaux, comme pour l’association, un seul objectif : contribuer à ce que les animaux soient mieux connus du grand public, pour mettre un terme à leur exploitation.
Avec ce livre, l’accent est mis sur les animaux élevés dans les fermes : cochons, vaches, moutons, chèvres, poules et canards. Dans son nouveau livre, Masson fait définitivement tomber les idées reçues concernant les cochons. Leur personnalité, autant que leurs comportements sociaux et leurs préférences alimentaires les font étrangement ressembler à nos semblables.
Il décrit des animaux intelligents et attachants, qui remuent la queue comme les chiens lorsqu’ils sont contents et sont capables d’aimer les humains, sans doute bien plus que de raison… Masson raconte aussi comment se comportent les poules lorsqu’elles ne craignent pas l’humain, rapportant notamment le cas de certaines aimant beaucoup se faire câliner…
Il relate aussi l’histoire de l’une d’entre elles, particulièrement taquine, qui prend un malin plaisir à faire sursauter un chat. Les poules acquièrent grâce à lui une identité, et s’avèrent, bien plus que des volatiles stupides, des oiseaux sensibles capables de choses surprenantes lorsqu’on leur permet seulement d’exister et de nous faire confiance !
À travers une multitude d’anecdotes, de rencontres et d’observations, Masson lève le voile sur les animaux les plus intensément exploités. Il nous livre ainsi de fascinants témoignages sur les facéties des chèvres et leur grande intelligence, mais aussi de belles histoires d’amitiés entre des moutons ou des veaux et, plus surprenant encore, celles de canards pacifiques et altruistes…
Au fil des pages, on comprend que si nous ignorons tant de choses à propos de ces animaux, c’est sans doute parce que nous ne voulons pas les connaître, pour pouvoir continuer à les exploiter – impunément. Car une fois que l’on a ouvert les yeux sur le trésor de leur existence, on ne peut plus les considérer comme d’insensibles machines à produire…

mardi 1 mars 2011

TED X , Elisabeth Laville sur le développement durable dans les entreprises

"A 43 ans, Elisabeth Laville est l’une des expertes européennes de la responsabilité sociale et environnementale de l’entreprise.Diplômée d’HEC en 1988, elle a créé en 1993 Utopies, qui promeut le développement durable dans les entreprises, en partenariat avec des organisations-phares et pour des clients qui vont des entreprises pionnières aux plus grands groupes internationaux. A la tête d’Utopies, Elisabeth a aussi initié plusieurs initiatives transversales, sur la construction durable ou encore la communication responsable.Elisabeth est aussi enseignante à HEC. Elle fait partie depuis début 2003 du Comité consultatif de Stakeholders de British Telecom et préside le panel de parties prenantes conseillant le groupe Lafarge. Enfin, elle est membre des conseils d’administration des associations Unis-Cité et C2DS, membre fondatrice de l’association Biomimicry Europa, et membre du Conseil d’Administration de Nature & Découvertes.Elisabeth Laville est également cofondatrice en 2004 de Graines de changement, une agence d’information positive sur le développement durable. Elle a reçu de nombreux prix et distinctions."

Livres:
L’Entreprise verte – le développement durable change l’entreprise pour changer le monde, éd. Village Mondial, 2002 (réédité en 2004)
Par Graines de changement :
Un métier pour la planète… et surtout pour moi ! éd. Village Mondial, 2004
Achetons Responsable !, éd. Seuil, 2006
Un régime pour la planète, éd. Village Mondial, 2007

Sites:
A voir sur TEDX

1999 Les Encres

Autour d'une table Dyptique 1 Dyptique 2 Couple L'enfance Dyptique 3 Dyptique 4 Fruits ...