Book d'Artiste peintures, dessins, photos et textes - Articles et Soutiens, droits et protections.
dimanche 27 mars 2011
lundi 14 mars 2011
Onanyati
Onanyati
Par un artiste peintre d'Amazonie
En savoir plus : Artistas plasticos de la selva del Peru, su inspiracion son las plantas sagradas, visiones,ecologia, amistad,misticismo, respeto a lo ancestral, costumbres y tradiciones de las culturas etnicas de la amazonia.
http://www.youtube.com/watch?v=f6yMVt8j8zg
dimanche 6 mars 2011
Le livre noir de l'agriculture, par Isabelle Saporta
Le Mot de l'éditeur : Le livre noir de l'agriculture
Vous souvenez-vous des Shadoks, ces étranges oiseaux qui passaient leur vie à pomper, pomper, pomper et à inventer des machines toujours plus absurdes ? Les Shadoks, aujourd’hui, c’est nous, ou plutôt notre agriculture. Malgré son coût prohibitif, celle-ci ne respecte ni le pacte social qui la lie aux paysans, ni le pacte environnemental qui la lie aux générations futures, ni même le pacte de santé publique qui la lie à chacun de nous. Les ressources d’eau sont gaspillées, polluées. Nous recevons chaque jour dans nos assiettes notre dose de pesticides et autres résidus médicamenteux. L’agriculteur ne s’en sort plus, et il est injustement voué aux gémonies, lui qui n’est que le bouc émissaire d’un système qu’il subit. La confiance est rompue. Pendant deux ans, Isabelle Saporta a parcouru les campagnes françaises. Dans cette enquête, elle met au jour l’absurdité du système, en le remontant de la fourche à la fourchette, du cours d’eau pollué aux cancers environnementaux provoqués par les pesticides, des animaux trop traités à l’antibiorésistance. La conclusion semble s’imposer : puisque notre agriculture pose plus de problèmes qu’elle n’en résout, il est urgent de changer de cap et de revenir à davantage de raison. Mais si tout le monde s’accorde sur le constat d’échec, aucun responsable politique ne veut prendre le risque de s’attaquer aux fondements de l’agriculture intensive. Loin de se contenter de brosser un tableau alarmiste, Isabelle Saporta avance des solutions simples. Pour les trouver, il suffit de savoir écouter ceux qui connaissaient le monde avant son délire productiviste. Ceux qui, aujourd’hui, travaillent d’arrache-pied à remettre les champs dans les sillons du bon sens paysan. Isabelle Saporta est journaliste. Elle a longtemps préparé les émissions de Jean-Pierre Coffe sur France Inter. Elle est l’auteur de documentaires, dont Manger peut-il nuire à notre santé ? et collabore à Marianne.
Philosophe et journaliste, Isabelle Saporta est un auteur aux propos engagés. Habituées des pages du magazine hebdomadaire Marianne, et plus principalement dans la rubrique savoir-vivre, et récente contributrice aux derniers numéros de la revue numérique Le Banquet, elle s'exprime dans le monde littéraire dans le courant de l'année 2006 en sortant un premier ouvrage consacré à la mouvance altermondialiste. Loin d'une connivence entendue de la plupart des médias, elle y fustige un monde d'arrangements et de compromissions et l'hypermédiatisation qui fait primer l'image sur l'engagement effectif. Forte de ses enquêtes de terrain, Isabelle Saporta joue les empêcheurs de tourner en rond."
Magazine de la santé
http://www.dailymotion.com/video/xh2fiy_fr5-magazine-de-la-sante-isabelle-saporta_news
On n'est pas couché
http://www.dailymotion.com/video/xhdzv0_isabelle-saporta-on-est-pas-couche-5-mars-2011-1_news
vendredi 4 mars 2011
Réalité du monde animal
http://www.psychologies.com/Nutrition/Modes-de-vie/Articles-et-dossiers/Pouvons-nous-continuer-a-manger-les-animaux
Je me demande dans quel pays il n'y a pas encore d'elevages intensifs, dans certains pays en Afrique et encore ?
La jeunesse changera le monde j'espère bien, en arrétant de manger ces animaux, en stoppant l'élevage intensif... sinon plus ça se développera dans le monde, et plus ce sera du malheur à venir. c'est évident, on ne peut pas s'enrichir et être heureux sur de la souffrance animale, sur de l'esclavage concentrationnaire. un jour ou l'autre, la Vie réponds...
Alors moi aussi je préfère ne pas les manger. De temps en temps je mange de la volaille bio, et des oeufs bio, et des crevettes dans les nems. Les champignons sont les steaks de la nature, alors il faut en profiter, aiinsi que le soja qui est riche en protéines. Eviter aussi de boire du lait, et diminuer les fromages. Nous avons d'autres alternatives. La nature est riche dans ses produits.
Pierre Rabhi mange 2 fois par semaine, il dit que son corps en a besoin. alors je ne sais pas si tous le monde peut devenir végétarien, une chose est sûre tout le monde peut se modérer.
Alors je prone la modération, si les gens veulent en manger, qu'ils choisissent plutôt bio et maxi 2 fois par semaine. De plus nous sommes dans l'urgence de diminuer la viande pour cause de pollution intensive. les élevages participent à 1/5 de la pollution. les nappes phréatiques polluées et le déboisement sont des conséquences de ces élevages intensifs.
Il est de notre responsabilité pour nos enfants, leurs enfants et leurs descendances. Al Gore en a bien parlé dans son film, une vérité qui dérange.
Les meilleures statistiques
http://www.ted.com/talks/lang/fre_fr/hans_rosling_shows_the_best_stats_you_ve_ever_seen.html
Population mondiale
Hans Rosling à propos de la croissance de la population mondiale et propose des solutions pour réduire la misère.
L'occident pourrait être une fondation pour le monde nouveau.
http://www.ted.com/talks/lang/fre_fr/hans_rosling_on_global_population_growth.html
jeudi 3 mars 2011
75,8% pour la viande dans le budget repas, c'est vraiment beaucoup. si la population devenait végétarienne ou presque comme en Inde où la population est à 40% végétarienne, ce budget viande non utilisé pourrait être consacré à nourrir ce qui en ont besoin, en alimentaire ou autre nécessité comme le logis, l'école et les arts.
http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=ip1208#inter1
Selon un autre site, la consommation de viande a fortement baissé depuis 1996, néanmoins en 2007, la consommation de porc s'élève à 34,7kg par personne. et la consommation de volaille est en nette augmentation.
mercredi 2 mars 2011
La vache à lait
Pourquoi oublie-t-on que pour renouveler son cycle de production laitière, la vache doit donner naissance, une fois par an, à un veau ? Pourquoi juge-t-on stupide et indolent un animal que l’on ne connaît pas ? Comment le public perçoit l’animal dans la production laitière ? Comment la distanciation du consommateur et l’invisibilité de l’animal s’opèrent-ils ? La Vache à Lait se distingue des autres livres sur le même thème en choisissant délibérément de ne pas se focaliser sur des considérations liées à l’intérêt des humains : leur santé, leur revenu, leur environnement. Il est temps de placer la vache au centre du débat car le lait n’est pas que le simple contenu d’un verre. Derrière la boisson et ses dérivés, communément appelés « produits » laitiers, il y a un animal. L’animal de rente qui doit son existence à sa rentabilité. Comment en est-on arrivé là ? Figure symbolique associée à l’enfance, héroïne sympathique d’un livre illustré, confidente apaisante grâce au toucher de son textile rembourré, nombreux sont les enfants qui ont choyé ce paisible ruminant. À l’âge adulte, la figure animale disparaît pour faire place à de toutes autres considérations.Où est passé l’animal ? Désanimaliser le débat sur le lait et ses dérivés révèle la déshumanisation et les dérives de notre société. À travers la vache, ce livre parle de nous.
Le cochon qui chantait à la lune
mardi 1 mars 2011
TED X , Elisabeth Laville sur le développement durable dans les entreprises
Livres:
Sites:
1999 Les Encres
Autour d'une table Dyptique 1 Dyptique 2 Couple L'enfance Dyptique 3 Dyptique 4 Fruits ...
-
Des photos prises au cours des rassemblements pour la Flamme de la Vérité, prise par divers photographes, des Tibétains et des Amis du Tibet...
-
Flame of True pour la Vérité au Tibet. Paris, le 8 septembre 2012 Relais Flamme de la Vérité au Salon de la Culture Tibétaine à la Pagode...
-
Dogons lors d'une cérémonie pour le Dieu Amma, évoqué par leur masque. (Photos Internet) Déjà dans l'excellente étude linguistique ...