lundi 11 octobre 2010

Appel à la décroissance par Pierre Rabhi



« Nous préférons parler d'humanisme »
C'était en juillet au Mas de Beaulieu, où l'association Terre et humanisme a établi ses quartiers il y a une douzaine d'années. Au pied d'une colline aride de l'Ardèche, les amis de Pierre Rabhi animent ce lieu d'accueil entouré de 2 500 mètres carrés de jardin potager et expérimental.
Ici, on travaille, on pense, on mange, on se lave, on va aux toilettes à la mode écolo.

C'est ça, les «  décroissants  »  ? Pierre Mante, président de l'association, s'en défend :
« Non, nous ne sommes pas des théoriciens de la décroissance. Nous sommes des praticiens de la sobriété heureuse.
Nous préférons parler d'humanisme. Proposer la décroissance au milliard d'individus qui vit sous le seuil de pauvreté, ça serait perçu comme une provocation… »

En 2002, à l'approche de la campagne présidentielle, Pierre Rabhi avait porté les idées de la décroissance sur la place publique. Soutenu par le mouvement du Colibris, il propose un « changement de paradigme ». Le constat, c'est qu'« on ne peut pas appliquer une croissance infinie à une planète aux ressources finies ».

Elevé dans le Sahara, entré très jeune en « insurrection personnelle » contre l'usine, Pierre Rabhi est devenu agriculteur et écrivain. Il suggère de ne plus prendre l'économie comme référence, mais la nature et l'être humain. Et de renoncer à la société de consommation «  orgiaque  ».

la suite ici :

samedi 9 octobre 2010

Parc floral, Paris Vincennes







22 septembre 2010
Pars floral, Paris Vincennes

Earthlings - Terriens

ATTENTION : ce documentaire est a deconseiller aux enfants de moins de 16 ans. Ames sensibles s'abstenir. Ce film documentaire americain traite de la place de l'homme dans la nature et son action négative sur le monde animal. Aussi puissant que 'Une vérité qui dérange' de Al Gore. Il faut le voir absolument ! Il a eu un enorme succes aux USA et remporté de nombreux prix et nominé aux Oscars.

Pour voir le film
http://www.youtube.com/watch?v=XpOPsZ_4BIs

A voir absolument

C'est suite à l'écoute d'une interview de Matthieu Ricard sur France culture dans l'émission Les Racines du Ciel d'aujourd'hui que j'ai découvert ce documentaire. Je vous donne le lien maintenant, je le regarderais dans les prochains jours.
Je suis contente qu'il y est un tel documentaire sur la toile qui appuie les droits des animaux à être respectés.

http://intuitionkalunga.blogspot.com/2010/10/les-chemins-spirituels-travers-les.html

Un message d'Amma

Le but des pratiques spirituelles est de développer un cœur débordant d'amour envers tous les êtres.

A voir Amma dans la vidéo Holi fleuri et coloré à Jaipur en Inde.

http://www.amma-europe.org/french/2010/03jaipur.htm

Népal, la démocratie en danger ?







Photos de la manifestation pour la démocratie au Népal en faveur des tibétains, jeudi 8 octobre à Paris, près de l'ambassade du Népal.
Dimanche dernier, les tibétains en exil au Népal votaient pour les membres du parlement tibétain et une heure avant la fin des votes, des policiers népalais sont venus confisqués les urnes des tibétains, avec la bénédiction du gouvernement chinois, une des plus grande dictature du monde.

Plus d'infos ici :http://www.tibetan.fr/

vendredi 8 octobre 2010

Parc floral, les Dalias




















Photos du 22 septembre 2010
Parc floral, Paris Vincennes

La Renaissance Informatique


C'est la Renaissance Informatique aujourd'hui chez moi, mon ordinateur ne fait plus de bruit car j'ai changé le ventilo, et mon écran ne siffle plus car j'ai changé les hertz, de 60 à 85 hertz. Miracle ! ça fait une réelle différence. C'est plus tranquille dirions nous !

Bientôt je me sépare de la télé qui ne fonctionne plus très bien depuis plus d'une année, les images ne sont plus couleur réelle pendant les 30 premières minutes et souvent plus depuis ces derniers temps.... alors, je vais m'en débarrasser le jour des encombrants. Je ne voulais pas m'en débarrasser car je pouvais patienter 30 minutes pour voir les couleurs réelles mais maintenant ça me dérange... de plus je remarque une mauvaise réception des chaînes. Il est temps de jeter ce vieux matériel, d'autant plus que cette télé est grosse, c'est une ancienne à tube cathodique, je l'ai depuis au moins 12 ans.
^^
J'ai changé aussi récemment d'imprimante, car la dernière ne fonctionnait plus depuis quelques mois... et aussi les enceintes du PC pour d'autres de meilleures qualités.
^^
Alors pour la métaphore, tout se dégage... c'est le renouveau !

samedi 2 octobre 2010

A Kalunga, Anya par Cl.Faïk-Nzuji



Je suis toujours très contente quand je découvre des informations sur Kalunga car c'est mon nom d'artiste et même dirais-je qu'il devient nom de famille peu à peu, bien au delà de l'Art mais toujours relié à la Création et à la Vie.
Pour rappel Comment j'ai trouvé Kalunga comme nom, c'est ici :
http://cathykalunga.blogspot.com/2008/10/pourquoi-kalunga.html

Cette fois ci c'est le premier roman de Clementine Faïk-Nzuji, Anya ou les clés du rêve. Kalunga est le nom d'un village au Congo qui signifie "qui relie", c'est une quête spirituelle et d'identité.
Je ne l'ai pas encore lu car c'est en regardant les mots clés de ce matin avec les statistiques google que je l'ai découvert, bien que je connaissais déjà Clémentine Faik-Nzuji puisque c'est grâce à son livre sur les symboles sacrés en Afrique Noire que je découvris en 1995 la signification de Kalunga.

Donc je fais tout simplement un copié-collé de l'article du blog La Voie du Kasai sur son livre en le remerciant infiniment pour ce travail de présentation.

« Anya », le premier roman de Cl.Faïk-Nzuji ou les clés du rêve

Il faut rappeler, à juste titre, que Cl. Faïk-Nzuji est une véritable configuration congolaise, selon une belle expression empruntée à Alain Ricard.Elle représente et incarne de belle manière ce qui , aux yeux du chercheur français, fait la spécificité de la littérature congolaise(RDC). Les écrivains de ce champ, contrairement à la plupart de ceux issus des anciennes colonies françaises, sont à la fois des philologues et des créateurs.Cet alliage fécond aura produit un corpus impressionnant où se révèle une connaissance très précise des textes de la tradition orale dans leur dimension linguistique et esthétique. Dans le domaine de la linguistique et de l’esthétique littéraire des textes relevant de l’oralité Clémentine Faïk-Nzuji a signé, entre autres, « Le chant kasala des Luba »(P.U.Z., 1977, 450p.), un essai savant sur la poésie panégyrique luba .Elle a par ailleurs analysé et livré les clés des symboles qui subsument l’art et le langage des peuples africains.
Ce volet scientifique et théorique de son œuvre a fini en quelque sorte par éclipser son œuvre littéraire constituée des poèmes, de nouvelles et de contes.
Anya s’inscrit au carrefourdes quêtes qui ont marqué la trajectoire scientifique et littéraire de l’auteur.C’est pourtant une œuvre littéraire à part entière, d’une lecture aussi agréable qu’instructive.
Le thème du rêve qui nourrit la trame de Anya, sous-titré roman initiatique est éminenment universel.Le personnage éponyme, une jeune femme mal dans sa peau , entame une sorte de retour aux sources, en terre africaine en quête des réponses aux rêves troublants qu’elle ne cesse d’enfiler et dont elle consigne les détails dans des carnets intimes.
Elle se rend dans le pays de ses aïeux où elle se met à l’école de son oncle paternel Vuluka( patronyme programmatique qui signifie « Souviens-toi ! »). Leur quête respective de sens, leur envie de déchiffrer le passé et de décoder les messages enfouis dans les rêves les portent à un dialogue fructeux, émaillé de signes révélateurs.Dialogue qui consiste en un voyage plein d’enseignements dans le passé familial avec son lot de secrets, de disputes, et de drames.
Le séjour de trois jours près de l’oncle Vuluka, est une intiation au langage fascinant et déroutant des rêves.
Le récit vacille sans cesse, entre rêve et réalité, ombre et lumière, jour et nuit, certitude et questionnement.Il en résulte un rythme binaire , nourri du va-et-vient incessant entre deux polarités dont le caractère contradictoire s’estompe pourtant au fil des pages.
Cette binarité est également sensible dans le fait que deux personnages dominent le roman ; c’est le dialogue à deux qui se tisse entre la nièce et son oncle qui en constitue la trame.
Cette oscillation entre le monde opaque et énigmatique du rêve et celui de la vie de tous les jours contribue à relancer sans cesse le dialogue . Il est l’axe sur lequel repose la construction romanesque.
Deux voix nouent un dialogue hallucinant où s’entrechoquent les angoisses de deux êtres, où se revèlent leurs manques, où entre en collision leurs affects, leurs vécus.Ce dialogue est vécu pourtant de part et d’autre comme réparateur.
Anya découvre l’aspect libérateur de la parole.Elle apprend à défaire les nœuds coulants de ses angoisses.Elle est initiée à l’art d’interpréter les rêves, portail dont le franchissement lui permettra de sauter à pieds joints dans le monde de la sagesse reposant sur des repères stables.
Lestée de rêves qu’elle est incapable de décoder , Anya pourra les décoder grâce à son oncle , qui lui même n’a cessé depuis sa petite enfance dêtre hantée par des visions et des cauchemars et qui en viendra à en maîtriser l’interprétation.
Le rêve est un langage structuré dans ses moindres détails, un code, un discours à part entière,
mais dont l’interprétation bute sur l’opacité des symboles.
C’est le désir irrépressible de comprendre ce langage diurne, d’en saisir la face cachée qui est le motif de la quête qu’entreprend Anya.
Par ailleurs, dépositaire d’une mémoire familiale riche mais embrouillée, elle part à la quête des pièces manquantes du puzzle.Le silence pesant sur certains membres de sa famille, ou encore sur certains épisodes de la saga familiale sont autant des brèches à combler.
Ses rêves sont le déclencheur de son malaise dont les racines profondes échappent obstinément à ses ratiocinements.
Son voyage en Afrique est une tentative de venir à bout des angoisses et des cauchemars qui ont fini par lui gâcher la vie. L’oncle lui explique les tenants et les aboutissants de sa quête : « Tu étais arrivée au point de jonction , où il t’était devenu impossible de poursuivre ta vie, sans avoir trouvé de solution au désarroi intime qui te minait. Tu es venue rechercher dans le passé , dans tes racines des indices pouvant t’aider à déceler quelques réponses. Mais ma fille, existe-t-il seulement quelque part une réponse ? »(Anya, p108-109)
Isolés des autres membres de la famille et des habitants du village de Kalunga , la nièce débarquée de manière impromptue de l’Europe, et l’oncle qui a changé de nom afin d’assumer sa mission de transmission du message lui légué par son père, entament un dialogue qui bouscule les frontières et les barrières de générations.
L’oncle chargé des ans est aussi une véritable instance critique qui tout en étant féru des références ancestrales s’efforce d’en livrer une lecture raisonnée, distanciée, et nourrie par toute une vie semés d’embûches où les expériences malheureuses ne font pas défaut.
Il n’est pas aventureux à la lumière de cet exemple et de biens d’autres d’avancer qu’il est l’alter ego de l’auteur. A travers lui, la romancière s’adonne au décodage des symboles qui nous voilent le sens profond des rêves et qui sont dévoilés grâce à la sapience des anciens laquelle plonge ses racines dans un terreau immémorial.
Ce premier roman vient jalonner à son tour un long cheminement qui a pris en charge de manière exemplaire la question des fondements symboliques du langage et de l’art en Afrique.
C’est moins une première tentative qu’une œuvre d’une éclatante maturité.Loin des certaines modes parisiennes avec leurs fanfreluches, leurs redites, leur style convenu, leur féminisme de commande qui sent parfois l’huile.
La leçon qui s’en dégage, c’est que le rêve pour l’Africain est non l’envers du réel mais son pendant et même le code le plus sûr de son interprétation. est au cœur d’Anya.
De fait aucun rêve ne peut être interprété au petit bonheur à la chance.C’est dans l’épaisseur des symboles charriés par tout rêve que gît la clé de sa signification toujours en prise avec la vie.
Anya, est un texte grave et sobre, riche de résonnances et dont la musique tissée de main de poétesse pour son édification comme pour son plaisir accompagnera longtemps le lecteur.
L’auteur évoque avec grâce des paysages crépusculaires, ce qui en dit long sur sa propre connivence avec la nature , jamais réduite à un décor.En effet, l’être humain et la nature n’ont un sens que l’un par rapport à l’autre.
Cl.Faïk-Nzuji, « Anya.roman initiatique », Bierges, Editions Thomas Mols.Postface de Pierre Yerlès, 192 p.

Source :

Une autre source au sujet de ce livre :

vendredi 1 octobre 2010

Sur toutes les infos qui circulent sur Facebook

Il faut espérer que l'effet soit comme la cuisson lente d'un bon pain, et qu'ensuite chacun fasse ce que sa conscience lui dicte de faire, d'ailleurs certains la suivent déjà... mais il faut encore faire plus. Il y a presque 20 millions de connectés sur facebook en France (et 500 millions dans le Monde), les graines sont semées, ce qui adviendra dépends de nous tous. et le travail se fait autant au niveau intérieur qu'au niveau extérieur, il y a un temps pour tout correspondant à son propre temps personnel. Une chose est sûre, en changeant soi même, en élargissant sa conscience et en développant ses capacités, le monde changera autour de chacun. C'est comme cette histoire de ballons, imagines 100 ballons lancés dans le ciel et si je n'influe sur aucune directions, les 100 ballons mèneront leurs courses comme il est inscrit par les lois naturelles ; par contre si je change volontairement la direction d'un ballon, ce dernier changera la direction de beaucoup d'autres.L'avenir se crée dans le Présent et dans le Présent, il y a une infinité de possibles et toutes actions, même celles de penser, agira en soi et dans le monde. En quelque sorte, tous les instants ont un potentiel pour changer et agir. Heureusement la Vie est malléable et notre Esprit aussi. Alors même parler à cette vieille dame qui marche seule et qui vit seule ou alors parler à nos voisins, ou bien parler aux SDF aura une incidence bénéfique pour la suite. Il suffit de peu aussi pour faire changer le Monde autour de nous. Autant les petites actions que les grandes sont importantes, c'est l'histoire du Colibri qui amène sa goutte d'eau pour éteindre le feu.

Stop à la Destruction de la Vie


Si on arrête de consommer des produits d’origine animale,
- on réduit la destruction des forêts tropicales de 70 %
- on sauve 923 millions de vies qui crient famine
- on résout une grande partie du réchauffement climatique,
- on évite certaines guerres
- on sauve la planète de la plupart catastrophes naturelles
- on évite la naissance et la propagation d’épidémies- on résout les problèmes de pénuries d’eau
- on met fin à la pollution des nappes phréatiques, des rivières et des océans
- on met fin à l’extinction de milliers d’espèces animales sauvages
- on met fin à l’acidification des océans qui tue le corail et la vie marine...

Source :
http://www.vegplanete.com/

1999 Les Encres

Autour d'une table Dyptique 1 Dyptique 2 Couple L'enfance Dyptique 3 Dyptique 4 Fruits ...